Toute la nuit à voyager
les yeux fermés
le rêve ouvert
l'arrivée en gare
l'atmosphère laiteuse
les nuages changent d'optique
l'esprit se prête à l'illusion
les pont s'effacent
les quais t'embarquent
il est temps de cingler
oublie la raison
déplie les voiles
l'Afrique est ta destination
Oublier la raison et déplier les voiles, c'est ce que nous devrions faire pour cingler dans un pays différent. Mais peut-être que les nuages vont changer d'optique ;)
RépondreSupprimerLe nuage est changeant; Attendons !
SupprimerA bientôt
Jean-Michel
J'aime bien le mouvement de ce poème, les images évaporées qu'il suggère, ainsi que le départ imminent du voyageur, toutes voiles dehors !
RépondreSupprimerÀ bientôt, Jean Michel
Merci Antoine, tu as mis les mots sur certaines de mes intentions lorsque j'ai écrit !
SupprimerA bientôt
Jean-Michel
Est-ce que c'est la destination qui compte, ou le voyage, demandait le philosophe (lequel ?)
RépondreSupprimer« L’important, ce n’est pas la destination, c’est le voyage »
SupprimerIl s'agit- sauf erreur- de l'excellent Stevenson, le grand écrivain écossais, qui n'hésita pas à tirer lui-même une balle dans le pied de sa propre déclaration en ne rentrant jamais des Samoa !
A bientôt
Jean-Michel
Merci d'avoir resitué et arf ! Excellent
SupprimerPlaisir !
SupprimerOh que j'aime rêver à te lire, à regarder l'illustration.
RépondreSupprimerOublier la raison, c'est parfait. merci K
Rêvons !
SupprimerA bientôt
Jean-Michel