...mot facultatif :utopie
Tranquillement installé en salle d’attente, l’homme, un astronaute -car sa tenue le trahit- lit posément un livre documentaire richement illustré.
Cette surprenante photo, découverte très récemment, a alimenté bien des conjectures.
Cette surprenante photo, découverte très récemment, a alimenté bien des conjectures.
L’hypothèse la plus folle est qu’il s’agirait de Michaël Collins, en train d’attendre le retour de ses camarades qui marchent sur la Lune. Un garçon posé non ?
Qui c'est ce Michaël Collins ?
En 1969, quand Armstrong et Aldrin étaient sur la Lune, Michaël Collins resta en orbite.
Seul dans le vaisseau.
Dans son autobiographie, Collins relate son aventure, notamment les 48 minutes de chaque orbite où, absolument seul, il n'est pas en contact radio avec la Terre et il dira éprouver « satisfaction, confiance et presque exultation ». Impressionnant non ?
Je me souviens de cette époque héroïque de la conquête spatiale dont quelques photos inoubliables sur la Lune sont passées à la postérité.
Il y avait là toute la maîtrise américaine de l’information et de la communication certes, mais pas seulement, car il y avait aussi ce grand frisson d’aller décrocher la Lune, d’y poser le pied, de rendre « réelle » cette utopie qui avait tellement nourri l’imaginaire des hommes depuis si longtemps, des siècles et des siècles de science-fiction.
On pense presque toujours immédiatement aux premiers, ceux d’Apollo XI, au point d’oublier le nombre de missions et leur numéro, avec une petite différence cependant pour Apollo XIII, échec marquant, qui faillit mal tourner définitivement. Qui se souvient spontanément que c’est allé jusqu’à XVII, que finalement 12 hommes ont marché sur la Lune, et qui connaît les noms des différents astronautes ?
Certes Neil Armstrong est le premier nom qui (re)vient à l’esprit. Dur pour Buzz Aldrin qui le suivit 19 minutes plus tard...
En 1969, quand Armstrong et Aldrin étaient sur la Lune, Michaël Collins resta en orbite.
Seul dans le vaisseau.
Dans son autobiographie, Collins relate son aventure, notamment les 48 minutes de chaque orbite où, absolument seul, il n'est pas en contact radio avec la Terre et il dira éprouver « satisfaction, confiance et presque exultation ». Impressionnant non ?
Je me souviens de cette époque héroïque de la conquête spatiale dont quelques photos inoubliables sur la Lune sont passées à la postérité.
Il y avait là toute la maîtrise américaine de l’information et de la communication certes, mais pas seulement, car il y avait aussi ce grand frisson d’aller décrocher la Lune, d’y poser le pied, de rendre « réelle » cette utopie qui avait tellement nourri l’imaginaire des hommes depuis si longtemps, des siècles et des siècles de science-fiction.
On pense presque toujours immédiatement aux premiers, ceux d’Apollo XI, au point d’oublier le nombre de missions et leur numéro, avec une petite différence cependant pour Apollo XIII, échec marquant, qui faillit mal tourner définitivement. Qui se souvient spontanément que c’est allé jusqu’à XVII, que finalement 12 hommes ont marché sur la Lune, et qui connaît les noms des différents astronautes ?
Certes Neil Armstrong est le premier nom qui (re)vient à l’esprit. Dur pour Buzz Aldrin qui le suivit 19 minutes plus tard...
Vertigineux.
Michaël a écrit un livre, hélas non encore publié, qui s'intitule : l'impasse de la lune. Vertigineux, non ? ;)
RépondreSupprimerJe suis désolée mais je m'insurge: Car tout le monde m'a aussi oubliée! Et pourtant, je suis souvent dans la lune! Pffffff.... Alors tu vois Michël Collins dans son fauteuil, c'est insignifiant! ;-) Bises alpines.
RépondreSupprimer