Le poème d'Hélène Dorion
Ce que j'en ai fait...
Mes hommes sont des bêtes qui étendent la nuit
pour sécher la sève de nos rêves
frapper à terre, brider les forces
avaler les ressources et les glisser
dans un nid de de profit qui tout désertifie
Mes hommes sont aux mains
d'une horde silencieuse
Qu'une éclipse surgisse et qu'ils réfléchissent
et entravent leur dérive ...
Redevenir mobile et écarter l'inexorable
Mes hommes seraient inspirés
d'esquisser un portrait vivant
éclairé par le jour
fait de chair et de sang
lumière et plein air
tourné vers la vie pas à pas
Contexte /consigne
Pirouésie 29 juillet - matin
Sortie en forêt de Pirou
Proposition d'écriture de Sylvie Bec.
Clairement, je préfère ta version, plus intelligible et plus originale, que le poème proposé au départ.
RépondreSupprimerBonne journée, Jean-Michel