Avant une nouvelle chronique lecture, il me reste ceci en stock dans mon habituel parcours de l'Oulipien de l'année ici.
Ça sent un peu l’roussi…
Ça sent un peu l’roussi quand ton chef Léonard | |
Dit : « Tu t’y remets fissa, j’attends tes crobards ! » | |
Et rajoute avec tout l’aplomb d’un vieux briscard, | |
« Dare-dare ou ton contrat va virer moins standard… | |
Tintin la bamboula en boîte aux Baléares | |
Tu vas nous épuiser avec ton teint blafard. | |
Si tu pouvais m’épargner ce regard hagard | |
Ou je te concocte une mission de pleurnichard | |
Les solutions tu sais y’en a pas un milliard | |
Je te fais traverser le désert en mojar | |
Tu pourras faire un petit crochet par Dakar ! » | |
Là, t’en peux plus de ton chef gueulard, rigolard | |
Tu dis la prochaine fois je reste au plumard. | |
Ô bagnard si ton chef est par trop ramenard | |
Grandes goulées, bois à la source Lécroart | |
Croque dessine invente et pour nouveau départ | |
Contrains-toi comme moi de caser kawésqar | |
Lance-toi dans les aventures de Gérard | |
A la vie modeste et simple de banlieusard | |
Qui oublie pour de bon tous les pères fouettards | |
Qui renvoie dos-à-dos paniquards et toquards | |
Pour eux lointain c’est juste après le boulevard. | |
Alors plane dans ta cabine de steward… | |
Réponds, quitte à oublier les studios Pixar | |
Alors chef, mon boulot c’est pas fort Boyard | |
Je veux pas ramper et exploser mon falzar ! |
Dans la vie, crois-moi, il n'y a pas de hasard !
RépondreSupprimerSans les 26 rimes précédentes, on jugerait ce commentaire bizarre. Merci Antoine !
SupprimerJean-Michel