Voici exceptionnellement une rediffusion -en un seul bloc- de deux billets de mon précédent blog.
Prenez-la comme une remise dans l'ambiance avant un nouveau billet (le 27 janvier) qui poursuivra cette phénoménale réflexion.
Première partie
On sait bien que
L’assassin court toujours.
La rumeur enfle.
La tension est palpable.
L’enquête suit son cours.
Le déficit est abyssal.
La tempête fait rage.
C’est trié sur le volet.
Un ange passe.
C’est le hasard du calendrier.
L’assassin court toujours.
La précision est diabolique.
Le rapport est accablant.
La source est proche du dossier.
C’est compliqué.
Toutes les cases sont cochées.
C’est le même son de cloche.
Le bras de fer est permanent.
Les pluies sont diluviennes.
L’énergie est inouïe.
La source est proche du dossier.
L’assassin court toujours.
On sait ou dit moins que
Achille avait deux pieds et donc deux talons.
Les fakirs adorent le clou du spectacle.
Le chien de ma chienne n’est pas le meilleur ami de l’homme.
La politique de la baudruche s’appuie sur des promesses vraiment gonflées.
L’évidence n’a jamais libéré personne.
L'assassin est essoufflé.
Dans le désert les chameaux bossent.
L’espérance est violente.
L’aplomb n’a pas d’ailes.
Une longue conversation ne se garde pas au congélateur.
Répondre « Danton cul » n’est pas que de l’audace.
Essuyées, certaines défaites ne sèchent pas.
La pointure des bottes secrètes ne se divulgue pas.
Les abricots aussi ont une fin.
Les éoliennes peuvent se faire porter pâles.
Il n’y a en principe pas de compas perdus d’avance.
Deuxième partie
On le sait très bien
La force est herculéenne.
La fermeture est hermétique.
On se prête au jeu.
Les dés sont jetés.
Le flegme est imperturbable.
On est droit dans ses bottes.
L’échec est cuisant.
On est à la croisée des chemins (et…)
On est attendu au tournant.
L’inventaire est à la Prévert.
L’affaire est dans le sac.
Les hostilités sont ouvertes.
C’est un scénario catastrophe.
Le pavé est dans la mare.
On atteint sa vitesse de croisière.
On apporte de l’eau au moulin.
La question est centrale.
La rencontre est au sommet.
On le dit ou on le sait moins, on n’en doute pas,
on ne le sait pas, on se le demande peut-être…
Hérode a été jeune.
Grog n’est jamais complété par Magrog.
Les fourmis fourmillent quand elles pullulent.
Chimène buvait du cidre ?
En russe, Knokke le Zoute se dit paraît-il Knout le Zokke.
La pendaison, ça se commande ou pas ?
Quand tu fumes du haschich parmentier, ça donne la patate ?
Est-ce que le temps arrive à passer quand l’heure est aiguë ?
Hanneton n’est pas le nom d’une chimère amphibie.
Le lapin est une langue morpe.
Le félon parfois fait court.
N’en déplaise à La Fontaine, certains laboureurs n’ont pas d’enfants.
En Israël, quand il fait beau, le ciel hébreu ?
Quand le requin-marteau ne vaut pas un clou, mieux vaut l’interner.
Le serpent d’Hippocrate n’a jamais juré de rien.
La suite le 27 janvier 2023
Le "on sait ou dit moins que", fait divaguer... mais ça, vous le saviez, non ?
RépondreSupprimerQuant au dernier "bloc" , il donne envie de sourire, de voler... et d' écrire ;)
Merci, si cela vous donne quelques ailes et idées !
SupprimerA bientôt
Jean-Michel
Contrairement aux abricots qui ont une fin, on aimerait que tes divagations soient permanentes, je me délecte, pourlèche, vraiment!
RépondreSupprimerMerci Colo
SupprimerOn continue !
Jean-Michel