Ce qui attire le
chien peut paraître accessoire.
Quoi ? Ce
lampadaire se prend pour un oiseau ?
Il en effraie ses
nouveaux congénères.
L’auteur aurait
dû veiller au grain, stylo ouvert, prêt, comme on a le doigt sur la gâchette.
On en est loin,
hélas.
En retard déjà
pour l’équinoxe du 20 mars, il mise tout sur le 23 septembre. Facile. Il
faudra mettre les solstices dans le coup.
La montgolfière
chargée du ravitaillement en cartouches d’encre rencontre des courants aériens
contraires qui lui donnent du fil à retordre.
Isolée, la
petite fille au parapluie rouge chemine sur son propre récit. Décidément y a-t-il
dans l’air quelque chose qui cloche
?
Tout cela parce
que le mug qui fuit s’est levé du pied gauche ?
Possible qu’à
ce rythme, le livre ouvert soit bientôt inondé sur sa page de gauche, que la
reliure finisse par se décoller et que l’histoire s’achève en lambeaux sur un chemin
détrempé et boueux.
Le parapluie de
la petite fille ne lui sera à priori d’aucun secours.
Le chien peut-être ?
J'aimerais, comme vous le dites si bien, avoir le stylo ouvert, prête, comme on a le doigt sur la gâchette ;)
RépondreSupprimerDe très belles idées dans ce texte. Ce parallèle entre l'écriture et l'histoire
qui pourrait se dérouler dans cette image m'a souvent fait sourire
D'où tenez-vous cette photo ?
Ici : https://pixabay.com/fr/images/search/livre%20chien%20parapluie%20/?order=latest
SupprimerImage libre visiblement.
Merci Ghislaine pour les 'belles idées' cela m'est venu avc l'aspect composite de l'image.
A bientôr
Jean-Michel
Raconter, écrire des histoires à partir d'un dessin, d'une photo. Ici la plume, prête à intervenir, aidera-t-elle la fillette sur son long chemin ?
RépondreSupprimerUn plaisir de lecture et d’imagination ton texte.
Merci Colo, un ensemble qui m'est venu assez spontanément.
SupprimerA bientôt
Jean-Michel