La photo :
Raconte-moi la mer,
dis-moi le
goût des algues
Et le bleu et le vert
qui dansent sur les vagues.
Sailing
Takes me away to where I've always heard it could be
C'est un fameux
trois-mâts,
fin
comme un oiseau (Hissez haut ! Santiano !)
La mer
Qu'on
voit danser
Le long des golfes clairs
Maman les p'tits
bateaux
Qui
vont sur l'eau
I am sailing
I am sailing
Home again
'Cross the sea
Baignoire, tu m’as menti
Nous voulons des
voiliers
De
beaux voiliers qui voyagent
Sail away, sail away
We will cross the mighty ocean into Charleston Bay
Sous la mer d'Iroise
Est mon village englouti…
I'd like to be
Under the sea
In an octopus' garden
Belle-Ile-en-Mer
Marie-Galante
La marée, je l'ai dans le cœur qui me remonte comme un signe
Avec la mer du Nord pour dernier terrain vague
Tu veux qu'j'te
chante la mer
Le
long, le long, le long des golfes
Pas très clairs
Tri martolod yaouank... la la la...
Tri martolod yaouank i vonet da veajiñ
Lorsque l’on s’approchait,
tendait l’oreille,
voilà tout ce qu’on pouvait entendre
un drôle de chant des sirènes
dans cette bassine méditerranéenne …
C'est une bassine de l'espèce la plus recherchée : elle est polyglotte, et a un sacré répertoire de chansons sur les bateaux et l'eau salée. On ne peut que lui souhaiter bon vent !
RépondreSupprimerTon histoire est drôle, inattendue, très inventive, Jean-Michel ! (pour info : nouvelle parution demain, en principe)
Et sans doute assez rare, car je n'en ai point encore rencontrée !
SupprimerMerci Antoine, et je suis allé lire, bien sûr.
Jean-Michel
Une joyeuse navigation au pays de la mémoire de la mer. Les chansons sont peut-être les seules qui nous permettent de prendre le large ensemble, mais pour où ? Au fait, quand part-il ce voilier là ?
RépondreSupprimerOn se tient au courant pour le départ !
SupprimerA bientôt,
Jean-Michel
Quel plaisir, souvenirs...à part cette baignoire menteuse dont j'ignorais l'existence. Quoi? Même les baignoires mentent !!! Souchon le sait, lui.
RépondreSupprimerJe peux ajouter ceci ? /tu sais que j'aime Léo Ferré:-))
Un bateau, ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Merci pour cette navigation au cap incertain, les meilleures.
J'ai toujours pensé que ce fragment " baignoire tu m'as menti" était un petit chef d’œuvre de concision, une magnifique trouvaille décalée.
SupprimerAh, Ferré, c'est partagé, j'y reviens toujours, comme au...port !
A bientôt Colo
Jean-Michel
Joli pot-pourri qui fait chanter...
RépondreSupprimerPuis-je y ajouter ce début qui m'avait enchantée (dans la Bibliothèque rose) :
"Bien loin dans la mer, l'eau est bleue comme les feuilles (sic) des bleuets, pure comme le verre le plus transparent, mais si profonde qu'il faudrait y entasser une quantité infinie de tours d'églises les unes sur les autres pour mesurer la distance du fond à la surface.
C'est là que demeure le peuple de la mer."
H.C. Andersen
Merci Tania, voici une belle contribution.
SupprimerIl est bien évident que je n'ai fait que puiser dans mon patrimoine pour ce billet.
Il en existe donc de nombreuses variantes potentiellement.
A bientôt,
Jean-Michel
Au passage je vous donne les sources dans l'ordre, je suis sûr que vous en avez reconnu la grande majorité si ce n'est tout !
RépondreSupprimerJean Ferrat - Raconte-moi la mer ; Christopher Cross - Sailing ; Hugues Aufray - Santiano ; Charles Trenet - La mer ; Maman les ptits bateaux ; Rod Stewart - Sailing ; Alain Souchon - Rame ; Claude Nougaro - Des voiliers ; Randy Newman - Sail away ; Jean-Michel Caradec - Sous la mer d'Iroise ; The Beatles - Octopus garden ; Laurent Voulzy - Belle-Ile-en-Mer Marie-Galante ; Léo Ferré - La mémoire et la mer ; Jacques Brel - Le plat pays ; Alain Bashung - Gaby ô Gaby ; Alan Stivell - Tri martolod.
Et je rajouterai ceci: "c'est pas l'homme qui prend la mer..." Tu nous fais naviguer et je me suis surprise à fredonner devant mon écran. De toutes ces chansons, c'est celle de Charles Trenet qui me remplit le plus d'émotion. Je ne peux jamais écouter cette chanson, sans verser des larmes, moi la montagnarde aguerrie. Bises alpines.
RépondreSupprimerEt un complément, un ! Merci Dédé.
SupprimerTrenet n'est pas spécialement ma tasse de thé musicalo-chansonnière, mais mon grand-père l'adorait.
Et cette chanson a l'immensité de son titre !
A bientôt
Jean-Michel