Nous disposions de la première et de la dernière phrase (en gras) ... Il a fallu inventer l'intervalle.
"Tu me demandes pourquoi je reste sans rien dire"
Tu me demandes aussi pourquoi je reste sans rien regarder.
Tu m’as déjà demandé pourquoi je restais sans rien entendre.
Cela fait un moment que je reste sans rien toucher.
Tu pourrais me dire pourquoi je ne demande rien puisque je dois rester.
Tu aurais pu rester pour que je ne dise rien pour demander.
Il faut dire que je passe mes journées enfermé dans mes pensées.
Il n’y a rien à dire car il n’y a personne à qui parler.
Si tu étais là, au moins pourrais-je même essayer :
Je me demande si tu resterais sans rien dire
Sans rien faire si je te disais
"Il fait sombre. On n’y voit goutte. Lève donc un peu l'abat-jour".
Elle dirait peut-être, que la situation a besoin d'être éclaircie !
RépondreSupprimerBonne journée, Jean-Michel
Je ne sais pas ! Quelques éléments deamin ...
SupprimerJean-Michel
Inventer l'intervalle n'est pas une mince affaire mais quand on se demande plein
RépondreSupprimerde choses, et qu'on les fait suivre du "rien", l'écriture trouve son rythme dans les pensées, visiblement, même sans abat-jour ;)
Un très bon résumé, avant un petit éclairage demain dans un billet spécial ...
SupprimerMerci, Jean-Michel