A partir d’aujourd’hui
L’improvisation c’est fini
Je mets tout par écrit
Terminés les oublis
Certes c’est un peu tard
Ça commençait à se voir
Comme un mauvais canular
Qui tournait au cauchemar
J’avais prévu de le faire avant
Toujours toujours procrastinant
Fin novembre Il était temps
Pour une résolution de nouvel an
Le quotidien devenait un polar
Où j’avançais au radar
Au hasard Balthazar
Enquêtant en plein brouillard
Sur mes faits et gestes
Où ai-je posé ma veste
J’ai déjà fait la sieste ?
Je serais pas un peu à l’ouest ?
L’improvisation c’est fini
Je mets tout par écrit
Terminés les oublis
Ça commençait à se voir
Comme un mauvais canular
Qui tournait au cauchemar
Toujours toujours procrastinant
Fin novembre Il était temps
Pour une résolution de nouvel an
Où j’avançais au radar
Au hasard Balthazar
Enquêtant en plein brouillard
Où ai-je posé ma veste
J’ai déjà fait la sieste ?
Je serais pas un peu à l’ouest ?
Je peste mais pour être honnête
Comme je n’ai plus toute ma tête
J’ai installé un système de pince-bêtes
Pour simplifier mon incessante quête
J’ai retrouvé plein de trucs au salon
Je marque tout, même si c’est coton
C’est infaillible, c’est du béton
Faut juste que je me rappelle où est le crayon
Bien d'accord, que la solution,
RépondreSupprimerC''est de répéter sur tous les tons,
Qu'il n'est vraiment pas bon
D'improviser sans raison !
Mais au fait, de quoi parle t'on ?
Ah, un jour le saura-t-on ?
SupprimerA bientôt
Jean-Michel
Une belle idée !
RépondreSupprimerNon au polar brouillard
oui au "pince-bête" esthète
et oui aux séances de blanc total qui changent des couleurs de la vie !
Le blanc total doit être reposant non ?
SupprimerA bientôt
Jean-Michel
Excellente idée, oh oui ! Mais où diable ai-je mis les pinces à linge?
RépondreSupprimerRetrouve le fil !
SupprimerA bientôt
Jean-Michel
Et si la mine du crayon n'est pas tailllée, il va falloir retrouver le taille-crayon. Cela ne s'improvise pas! Bises alpines.
RépondreSupprimerSi la taille-crayon s'est taillé, se prenait-il pour un crayon ?
SupprimerBises atlantiques
A bientôt, Jean-Michel